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Sujet du message: Le Meliès
Je vous informe que le documentaire "Elle s'apelle Sabine", de Sandrine Bonnaire sera diffusé au Méliès
boulevard Van Gogh
Bp 10153
59653 Villeneuve d'Ascq
03-20-61-96-90
Le film est programmé les jeudis 21 à20h45, samedi 23 à 16h45, dimanche 24 à 18h15 et lundi 25 février à 21h
Pour ceux qui souhaiteraient le voir ou le redécouvrir
Posté le :
Lun 11 Fév, 2008 2:53 pm
Isa62 Nouveau
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coucou
je l'ai sur CD à la maison, je l'ai enregistré à la télé
super ce film, plein de joie et d'émotion. _________________ Isabelle, maman de Clément 4 ans (avec autisme) et Guillaume 3 ans
Posté le :
Lun 11 Fév, 2008 3:50 pm
loulou59 Nouveau
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Le documentaire est effectivement très touchant pour ne pas dire parfois révoltant. Il avait suscité beaucoup d'émotions et de polémiques sur certains forums. Sans la relancer je pense que Sandrine Bonnaire a eu au moins le mérite de dénoncer ces pratiques d'un autre temps et terriblement encore d'actualité. Une fois de plus la psychiatrie est montré du doigt et tant mieux, les enfants autistes n'ont certainement pas leur place au sein de cet univers asilaire.
Posté le :
Lun 11 Fév, 2008 8:55 pm
stephen Nouveau
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En tant que papa d'un petit garçon autiste, j'ai été trés touché par ce documentaire, qui est une magnifique dénonciation de ce que la psychiatrie peut faire de pire, sans jamais accuser directement, juste en montrant les résultats avant-aprés. Bouleversant!! _________________ Stephen CRETON, vice-président de lasso
Papa de Lucas 7 ans autiste et Eulalie 4 ans sourde profonde porteuse dimplants cochléaires
Posté le :
Mar 12 Fév, 2008 1:42 am
loulou59 Nouveau
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ci-joint une interview de p. Coupechoux sur le sujet
Psychiatrie : le retour de l’asile ?
Rappel des faits La semaine dernière sortait sur les écrans le film de SandrineBonnaire, Elle s’appelle Sabine, témoignage bouleversant sur sa soeur autiste.Mais aussi mise en accusation des dérives d’une psychiatrie déshumaniséefaute de moyens et de volonté politique.C’est avant tout un magnifique documentaire, une oeuvre de cinéma, un acted’amour. Le sourire de Sabine à 19 ans n’est pas près de nous quitter. Seslarmes « de joie et de peine » 20 ans plus tard non plus. L’image de son corps
de jeune femme se jetant dans les vagues puis celle d’une femme meurtrie,déformée par la douleur sont un véritable choc. D’autant plus fort que laréalisatrice l’affirme, Sabine fut détruite par cinq années passées en hôpitalpsychiatrique. Une accusation difficile à entendre pour certains psychiatres,assumée par d’autres : oui, la psychiatrie en France va mal. Mais n’est-ce pasles fondements mêmes du vivre ensemble qui sont à revoir ? Qu’est devenu legrand mouvement de désaliénation d’aprèsguerre et la psychiatrie de secteur ?
Ses défenseurs luttent tant bien que mal dans un contexte politique où
contrôle social et criminalisation du fou sont revendiqués. Pourtant, des
solutions existent. Grâce à sa soeur, Sabine se reconstruit aujourd’hui dansune petite structure. Un refuge à taille humaine où la dignité des soignés etdes soignants est respectée. Un idéal vers quoi la psychiatrie doit tendre.Encore faut-il lui en donner les moyens. Mais aussi revenir aux fondamentaux,comme à la pensée du philosophe Michel Foucault, qui n’a cessé de chercher àcomprendre, non pas la folie, mais notre rapport à elle. « C’est dans le déliredu fou que nous interrogeons notre vérité d’homme normal. » Maud Dugrand-Que pensez-vous du film Elle s’appelle Sabine, de Sandrine Bonnaire ?Franck Chaumon. J’ai trouvé ce film extrêmement touchant. Son regard sursa soeur telle qu’elle est aujourd’hui, malgré la douleur qu’il exprime, est trèssubtil et respectueux pour elle aussi bien que pour les autres résidents. Ellen’évite pas l’horreur de la situation et sait montrer en même temps la profondehumanité de ceux qui partagent sa vie à présent.Patrick Coupechoux. Ce film est très émouvant. Le contraste entre la Sabinejeune, où elle est si belle, si humaine, et celle d’aujourd’hui, où elle est sidiminuée, est terrible. Sandrine Bonnaire n’est pourtant ni dans le pathos nidans la complaisance. Sa démarche implique une réflexion de ce qui s’est
passé entre ces deux états.- Sandrine Bonnaire pose la question de l’impact de ces cinq annéesd’hôpital psychiatrique sur sa soeur. Avez-vous le sentiment qu’elleprocède à une dénonciation en règle de la psychiatrie ?Franck Chaumon. Le grand mérite du film et en même temps sa difficulté,c’est qu’il parle d’une personne, Sabine, et qu’il est toujours délicat de faired’une existence la preuve d’une thèse, quelle qu’elle soit. Sandrine Bonnaireest extrêmement mesurée dans ses propos et il serait dommage de ne retenirqu’une seule cause évidente de la détérioration de l’état de sa soeur :l’hospitalisation en psychiatrie pendant cinq ans. Le danger serait de mettre ladouleur de Sabine sur le compte d’une unique maltraitance « psychiatrique ».Les troubles dont elle souffre sont suffisamment soulignés dans le film pourqu’il soit possible de poser les questions sans les caricaturer. Et d’abord refuserde parler de « la » psychiatrie, pour situer précisément les formes de réponse
proposées, leurs moyens et leur éthique. Quelle que soit la difficulté du
patient, il y a une manière humaine d’accueillir la souffrance humaine, et c’estun enjeu pour notre culture. C’est une erreur de situer le débat, comme on levoit ici ou là, sur la question des médicaments. En prescrire ou pas n’est pas lecentre du problème. La question, c’est comment faire pour accueillir le plusrespectueusement possible ceux d’entre nous qui sont le plus vulnérables, lesplus violentés ou les plus violents. Et ça, c’est une question qui aujourd’huiconcerne la place et les moyens alloués à la psychiatrie en France. Il faut ledire, et c’est là que le film est avec les soignants et non contre eux, la situationde la psychiatrie en France est devenue catastrophique.Patrick Coupechoux. Sandrine Bonnaire évoque la cassure qui fait basculerSabine : le départ en province de la mère, la mort du frère, la séparationd’avec la fratrie… Mais il est impossible de faire apparaître de façon nette lesraisons de la rupture. Est-ce l’hôpital, les médicaments ? Il faudrait procéder àune analyse poussée pour comprendre…- Lorsqu’il y a enfermement en hôpital psychiatrique, le lien estdifficile à maintenir. Dans une structure plus petite, les rapports sont
plus faciles. Pourquoi ne pas privilégier davantage le développement
de ces lieux d’accueil ?
Franck Chaumon. Quand les capacités humaines sont débordées, c’est
précisément le moment où le traitement doit être d’autant plus individuel ethumain. Dans la structure d’accueil où se trouve Sabine, il m’a semblé qu’il yavait au moins une personne accompagnante pour un patient. Dans l’hôpitalpsychiatrique où a été hospitalisée Sabine, le rapport est de l’ordre de 25patients pour deux infirmiers, selon la déclaration d’un des médecins… Mais laquestion n’est pas seulement celle des moyens, il s’agit d’un choix de société.Que peut faire une société pour accueillir des gens brisés ? Peut-on uniformiserles réponses, les évaluer selon le critère majeur actuel du moindre coût ? Estceque la standardisation des protocoles de traitement est la réponse ou bienest-ce que ce film ne fait pas sentir que c’est du côté de l’attention portée à la
singularité qu’il s’agit de s’orienter ?
- Pourtant, ce travail d’accompagnement humain n’est pas très
valorisé…
Franck Chaumon. Oui, aujourd’hui on considère que tout le monde est
interchangeable et que les propositions sociales doivent être valables pour tousselon des protocoles standardisés et anonymes. Le discours gestionnaire etfinancier prime, et l’on privilégie la distribution anonyme des réponses,médicamenteuses en premier lieu.
- D’autant que les réponses aux maladies mentales pourraient être
multiples et complémentaires…
Patrick Coupechoux. On n’a pas réponse à tout. Au moment de la rupture deSabine, la famille est désarmée. Elle ne peut pas faire face seule. Si la
psychiatrie n’intervient pas, c’est la destruction qui prend le pas. Sandrine
Bonnaire, grâce à sa notoriété, a pu trouver une structure humaine pour
accueillir sa soeur. Mais tout le monde n’a pas la notoriété d’une actrice. Il y abeaucoup de gens à l’abandon. Abandon extrême lorsqu’ils sont dans la rue ouen prison, abandon par manque de soins parfois lorsqu’ils sont hospitalisés. Ily a une forme d’abandon invisible qui consiste à médicaliser les malades sanss’occuper réellement d’eux.
Franck Chaumon. Il est réducteur de prendre le problème en opposant
hôpital psychiatrique et structures respectueuses. Depuis la Seconde guerre, ilexiste en France des pratiques psychiatriques qui en ont fait la preuve.
Beaucoup de lieux sectorisés, à l’image de celui qu’a créé Sandrine Bonnaire,existent déjà. Et ça fonctionne. Sauf qu’actuellement c’est le retour de l’asile.
Je trouve aberrant les réponses défensives d’un certain nombre de collèguesqui répondent au film par un éloge des médicaments. Il s’agit de savoir quellecomplicité nous avons avec la destruction actuelle de nos moyens de travail.
De fait, certains hôpitaux deviennent des gardiennages d’asile. Les psychiatresqui ont participé à tous les combats novateurs sont dans de telles conditions defonctionnement qu’ils se voient obligés de prendre en compte, contre leursconvictions, la logique des coûts. Ils parent au plus pressé en supprimant letravail subtil d’accompagnement dans la cité, pour pouvoir simplement tenir lesurgences avec des équipes épuisées. Pendant ce temps-là, les activitésmultiformes par lesquelles on prend en compte la singularité des patients sontabandonnées, jugées superflues ou peu mesurables et donc inutiles… L’hôpitalfonctionne désormais comme une entreprise. Quand vous avez avalé pendantdes années votre sentiment d’indignité, vous finissez par défendrel’indéfendable comme une manière de tenir dans votre travail. C’estdramatique. Ce n’est pas la faute des médecins ni des infirmières, à conditiontoutefois qu’ils le dénoncent. Sinon, ils participent à un système qui est lecontraire de ce qu’ils soutiennent. Les conditions faites à la psychiatrie sont
hélas aujourd’hui les conditions expérimentales d’un retour de l’asile. On nepeut pas rester silencieux.
- La structure d’accueil dans laquelle se trouve Sabine coûte moitié
moins cher qu’un place en hôpital psychiatrique…
Franck Chaumon. La question des coûts est une folie du discours. Elle nous
écrase sous sa prétendue évidence de rationalisation des dépenses, mais il fautposer la question sérieusement : comment peut-on calculer ce que coûte unesociété ? Quelles sont les valeurs sociales que nous comptabilisons ?
Aujourd’hui on passe notre temps à remplir des comptes, et pour cela on
découpe tous les actes en séquences comptables, on réduit les techniques àdes protocoles, on produit des tonnes de statistiques. On nous impose desaudits pour rationaliser les dépenses, et on surimpose des dépenses
inflationnistes pour … contrôler les dépenses faites par les praticiens. On nousdemande de restreindre nos activités et, dans le même temps, on fait descampagnes gigantesques sur la dépression pour inciter les gens à acheter desantidépresseurs…
– Pourquoi les psychiatres n’arrivent-ils pas à dépasser ce sentiment
d’agression ? Est-ce une peur de perdre leur pouvoir et leur
légitimité ?
–Patrick Coupechoux. Il faut interroger les psychiatres qui ont une
responsabilité certaine… Mais il faut surtout questionner la société. Pour
comprendre ce qui se passe aujourd’hui, il est intéressant de revenir aux
expériences de désaliénation nées après la guerre et qui sont remises en causeaujourd’hui. Celles-ci ont démontré qu’il était possible d’intégrer les fous dansla société, avec une conception de la psychiatrie à la croisée de nombreuxchemins, culturel, social, historique, psychologique - et pas seulement rivée àla médecine - avec la nécessité d’aider le fou à vivre parmi les autres hommes.
Notamment grâce à une équipe de soignants, à la continuité des soins dans ethors de l’hôpital… Il serait bénéfique de se pencher sur ces expériencesnovatrices qui ont fonctionné et qui fonctionnent toujours ici ou là. Aujourd’hui,c’est la vision même de la folie qui change : il faut désormais la neutraliser, lagérer et la criminaliser. Le but de l’action des désaliénistes n’était autre quel’homme, la finalité de leur démarche était de tout faire pour que le fou puissevivre parmi les humains. à présent, on entend empêcher le fou de perturber,voire de nuire à la société, ce n’est pas du tout la même chose. Ce discours estalimenté par une vision biologique, scientiste, qui consiste à réduire l’êtrehumain à son cerveau, à son système nerveux ou à ses gènes, à en faire unobjet. Il l’est aussi par une vision néolibérale et managériale obsédée par lagestion et la mise à l’écart de tous ceux qui sont faibles ou non performants.
Franck Chaumon. Nous sommes tous des cibles à neutraliser. Les gens qui sesentent mal, il faut les convaincre qu’ils sont déprimés et que la réponse à leurmalaise est dans les antidépresseurs. Les enfants qui bougent trop à l’école, ilfaut convaincre parents et enseignants qu’ils sont hyperactifs, et leur prescrirede la ritaline… La folie a toujours posé les problèmes du sens de la vie et de lavie ensemble, même si les mots changent selon les époques. Aujourd’hui lemot « autisme » est la manière contemporaine de poser cette question. Lamanière dont une société se comporte avec ses fous signe sa culture. Mettreles fous et les criminels dans des boîtes, prévenir les troubles et psychologiser
les problèmes sont des réponses ponctuelles qui esquivent le débat sur les
valeurs qui nous réunissent ou nous divisent, sur les choix de société.
Patrick Coupechoux. C’est un symptôme des changements intervenus dansnotre société, notamment concernant la place de l’individu. J’ai commencémon enquête avec le fou et j’ai fini avec l’individu contemporain. La folie révèlela supercherie de « l’individu libéral », « l’individu roi » qui n’est en fait quel’individu du marché, mobile, performant, compétitif, autoconstruit, encompétition permanente avec ses semblables… On oblige les individus à seconformer à ce modèle et parfois de façon criminelle, les gens se suicident parexemple au travail. Ce que la folie démasque, parce qu’elle ne peut seconformer à ce modèle, c’est la violence des rapports sociaux, derrière lesapparences. Elle nous montre que l’individu réel, le sujet, est de plus en plus
malmené. Avec le fou, soit on est capable de nouer un lien réel, humain - etcertainement pas la relation de nature contractuelle et marchande que nousimpose de plus en plus la vision néo-libérale, - soit c’est l’abandon. Et c’estprobablement pour cette raison que le fou est aujourd’hui de plus en plusabandonné. L’exclusion du fou, c’est l’exclusion de l’homme. La réflexion sur lafolie est inséparable de celle sur l’être humain.
- Beaucoup de parents condamnent une approche trop psychologisante
de l’autisme. Qu’en pensez-vous ?
Patrick Coupechoux. Il est vrai que la psychanalyse est rejetée par les
familles. Peut-être ont-elles leurs raisons. Mais deux choses me frappent. Lapremière, c’est le fait que les parents veulent des résultats immédiats, voirespectaculaires. Il faut que l’enfant se comporte le mieux possible, le plus vitepossible, qu’il s’intègre comme on dit. Et cela, c’est bien dans l’air du temps…
La seconde, c’est que le rejet de tout récit, de tout discours sur le monde -
comme celui de la psychanalyse ou du marxisme qui ont joué un rôle si
important dans le mouvement désaliéniste - conduit à la réduction de l’être
humain à l’état d’objet et, au final, au tri et à l’exclusion possibles.
Franck Chaumon. Devant les carences des pouvoirs publics, les parents se
regroupent en associations pour faire face aux obstacles et aux contraintescausées par les troubles de leur enfant. Les vies familiales peuvent être briséesquant on a un enfant pour qui il n’existe pas véritablement d’accueil, commec’est le cas lorsqu’il est en bonne santé. Mais leur combat légitime ne doit pasesquiver le débat essentiel sur l’orientation des réponses proposées et leurchoix pour des techniques réductrices, au nom d’un refus de la psychanalyse.
Le cognitivisme et le comportementalisme vont très bien avec les
médicaments, et avec l’obsession du formatage gestionnaire des réponses.
Quel accueil devons-nous proposer à ceux d’entre nous qui sont les plus
démunis ? Des réponses humaines, singulières, originales, ou bien des
réponses simplifiées, adaptées, limitées ? Le débat cognitivisme-psychanalyse
n’est pas un débat pour spécialistes, c’est un enjeu de société. Nous n’avons
pas su à ce jour le rehausser à ce niveau.
Ressentez-vous la nécessité d’ouvrir un vrai débat sur le sujet ?
Patrick Coupechoux. Oui, c’est nécessaire. Depuis des années, il n’y a plus
vraiment de transmission, des internes en psychiatrie ne savent pas qui étaientLucien Bonnafé, Jean Oury ou François Tosquelles. Il faut revenir à ces gens-là,à cette richesse-là, remettre en cause le discours pragmatique qui cherche lerésultat immédiat et l’apparente efficacité, mais qui nous projette dans unevision unique, simpliste et bureaucratique du monde. Une vision qui au bout ducompte banalise et justifie l’exclusion et l’inhumanité.
Franck Chaumon. Il existe un défaut de lien entre l’éthique et la politique. Lapsychanalyse peut ouvrir à des formulations inédites pour le politique : qu’enserait-il d’une politique qui accueillerait la singularité comme telle ? Qui feraitvraiment place au sujet ? Si la libération de l’homme passe d’abord par luimême,tout va bien, mais que se passe-t-il si l’on entend le témoignage de lapsychanalyse : il n’est pas sûr qu’on ait toujours envie de se désaliéner, et l’onpeut tenir ferme à l’idée que c’est, seulement l’autre et la société qui nousaliènent…
(*) À lire : Un monde de fous de Patrick Coupechoux (Seuil, 2006).
Politique de la psy, de Franck Chaumon et F. Gros, (Presses de Sciences Po,
Psychanalyse : vers une mise en ordre ? sous la direction de Franck Chaumon
(La Dispute, 2006).
Posté le :
Lun 18 Fév, 2008 10:25 am
loulou59 Nouveau
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Sujet du message:
désolée m'étais pas aperçu que l'interview prenait autant de place
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